
Quelle période les amis !
Non, nous ne vivons pas dans un roman de Ray Bradbury. Pourtant, notre réalité, chaque jour un peu plus, se mêle aux fictions les plus pessimistes. On voudrait sourire, mais nos masques nous entravent, on voudrait se voir mais le virus nous éloigne, on voudrait rêver mais la culture n’est apparement pas de première nécessité.
C’est donc la mort dans l’âme que nous avons été contraints d’annuler notre apéro littéraire.
Non, nous ne vivons pas dans une trilogie de George Lucas. Pourtant, il nous vient comme une envie de rejoindre la rébellion. C’est donc armés de nos sabres laser que nous venons à votre rencontre depuis une semaine pour vous remettre vos exemplaires des Tribulations d’un con. À l’heure qu’il est, normalement, tous les lecteurs qui nous ont soutenus l’ont reçu et même lu (si jamais vous n’êtes pas de ceux-là, contactez-nous, on fera le nécessaire).
À notre plus grande joie, ce roman vous a permis un doux voyage teinté de rires francs, de quelques larmes et des souvenirs d’une époque où les masques ne cachaient pas nos émotions.
Vos nombreux retours (et la frustration d’Héloïse de ne pas avoir reçu vos compliments de vive voix) nous confortent dans notre envie de vous rencontrer.
Nous profitons donc de notre assignation à résidence pour penser à l’organisation de nos retrouvailles.
En attendant, que la force soit avec vous !